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09/04/2014

"Il m’a offert sa copine préférée sans le vouloir"

L’histoire que je m’en vais vous raconter est une histoire cocasse qui s’est déroulé quand j’étais encore étudiant et que je vivais en cité au campus de Cocody. Aujourd’hui encore, j’en ris aux larmes quand j’y pense.Ceux qui ont vécu en cité, connaissent bien les cas des chambres doubles. La chambre double, comme son nom l’indique, est une chambre qui comporte deux lits séparés par un semblant de placard souvent en état de délabrement très avancé. Cette année là, je partageais ma chambre avec un étudiant en année de Licence de droit. Moi je préparais ma soutenance pour une maîtrise en histoire. J’étais un étudiant sans histoire qui aimait le calme et la tranquillité. A l’opposé, mon voisin était un garçon imbu de sa personne. Il entassait à son palmarès, conquête sur conquête. C’était un homme à femmes et il s’en vantait tous les jours. Notre chambre était située dans le bâtiment en face de la place Apkélé Apkélé. J. Yapo, comme je le disais, changeait de copines comme il le ferait des dizaines de chemises qui s’entassaient dans son placard. Il était un garçon élégant à sa façon. Il s’habillait bien et dans des tenues très à la vogue qui coutaient une fortune pour la bourse d’un petit étudiant qu’il était. Un jour, il me confia qu’il sortait avec une tantie et c’est elle qui lui refilait tout l’argent qu’il exhibait à mes yeux. Yapo était certes un coureur de jupon, mais il adorait réellement Mariam K. parmi ses conquêtes. Elle était, comme on aimait à le dire, « sa titulaire », c’est-à-dire celle qu’il préférait au dessus de toute. D’ailleurs, il avait raison, Mariam était une fille sublime. Elancée avait une poitrine et un postérieur de rêve, cette fille avait un cou strié et des dents d’une blancheur extrême. Au fond de mon cœur, elle me plaisait bien. Yapo prenait soin d’elle. C’est lui qui s’occupait de ses études. Il était connu par la famille de cette dernière à qui il cachait son infidélité chronique. En effet, Mariam ne savait rien des escapades de son chéri. Mais ce dernier avait eu l’honnêteté de lui avouer ses relations avec « sa tantie » de laquelle, il obtenait tout l’argent qui assurait les études de Mariam. Elle n’aimait pas cette situation inconfortable, mais elle avait accepté de s’y faire. La tantie en question était une jeune cadre de banque qui était follement amoureuse de Yapo. Elle passait souvent la nuit avec Yapo dans sa chambre d’étudiant sans gêne. Le jour où c’était le cas, Mariam était prévenue d’avance de ne pas arriver en cité. Cette dame garait sa BMW grise devant notre bâtiment et dormait avec nous dans notre chambre. Le lendemain matin, elle nous comblait de cadeaux moi y compris. Tout se passait pour le mieux jusqu’au jour où… Installez vous bien et suivez l’histoire. Ceci est la partie qui me faire rire jusqu’à l’instant même où j’écris cette confession. Ce jour là, Mariam était avec Yapo en chambre lorsque la tantie a débarqué sans prévenir. J’avais oublié de souligner qu’elle était d’une jalousie maladive. Car cela est important pour la bonne compréhension de ce qui va se passer par la suite. Elle débarqua donc avec une grosse bouteille d’un champagne dont j’ignore le nom. Mariam faisait la cuisine et mon voisin écoutait la musique. Quand elle a franchit la porte de la chambre, j’ai vu comme un éclair de feu dans les yeux de Yapo qui s’était redressé promptement pris de panique. - Bonjour chéri. - Bonjour mon cœur, a répondu Yapo sans vraiment convaincre. A l’instant, Mariam a tout compris, c’était la première fois qu’elle voyait la tantie. Elle-même semblait prise de panique. La tantie fixa longuement Mariam et demanda : « qui est cette belle jeune fille ? » Yapo s’empressa de répondre sans réfléchir : « c’est Mariam, la copine de Kelvin » La dame me regarda : -Mais Kelvin tu es un méchant garçon. Tu as une si belle chérie et tu ne me l’as jamais présentée ? Imaginez ma surprise et mon étonnement. Je n’en revenais pas ! La capacité d’improvisation de Yapo était vraiment…gigantesque ! Il me fit signe des yeux. Il me fallait jouer le jeu. -Oui, c’est ma princesse des savanes du nord. -elle est vraiment une vraie princesse, ajouta t’elle. Elle enlaça très rapidement Yapo et se mit à lui faire des câlins comme si nous n’existions pas. Yapo semblait dans de sales et beaux draps en même temps (rire). Elle tira le rideau et nous entendîmes par la suite de petits cris étouffés. Mariam tremblait de tout son corps. Je me suis saisi de sa main et je l’ai attirée vers moi. Elle s’est pratiquement effondrée dans mes bras et s’est mise à pleurer doucement. Je l’ai attirée sur mon lit et j’ai mis la musique à fond. Elle tremblait fortement dans mes bras en me tapant sur la poitrine avec ses poings d’ange. J’ai commencé à lui parler doucement dans l’oreille pour la calmer. Ses sanglots me fendaient le cœur. Comme un éclair, elle m’a saisi par le cou et m’a fait coucher sur le lit. Je l’ai vue par la suite dégrafer son corsage et libérer ses énormes seins d’une rondeur étonnante. Je n’en revenais pas. Elle continua et laissa bientôt tomber au pied du lit son string d’une blancheur immaculée. Elle était nue ! Elle tendit la main vers ma mini-chaîne et en diminua le volume. La tantie gémissait comme dans un film pornographique de l’autre coté du malheureux placard, témoin de toute cette scène incroyable. Mariam tira sur mon caleçon américain et dévoila mon membre qui était tout raide. Elle le porta à sa bouche et se mit à le suçoter doucement en gémissant à son tour. J’étais vraiment dans une situation de rêve éveillé. Elle porta ensuite mon membre et l’entrée de sa fente et l’y introduisit sans grand effort. Elle s’appliqua par la suite à donner de grands coups de reins. Je voyais ses gros seins balançant au dessus de ma figure. Je les attrapai dans mes mains et commençai à les malaxer. Elle gémissait de plus en plus fort donnant presque la réplique à l’autre gémissement qui faiblissait. Mariam me faisait l’amour avec un entrain étonnant. Elle se dégagea et me tendit ses fesses en m’invitant à la prendre par derrière. Cela alluma un feu violent en moi à la simple vue de ce postérieur magnifique. Yapo poussa un petit rire sarcastique de l’autre côté et me demanda : -Kelvin que se passe t-il ? Je n’eu pas le temps d’ouvrir la bouche que Mariam enchaina : « vous nous avez donné l’envie, donc moi et mon chéri on s’éclate comme vous, on fait l’amour. Vas-y chéri enfonce-toi plus profondément, ho je t’aime mon Kelvine Chéri.» j’imaginais la réaction de Yapo de l’autre côté. D’ailleurs, moi, je donnais de vigoureux coups de reins qui claquaient avec le petit suintement humide caractéristique. J’explosai en elle en râlant de mon mieux. Elle me plaça un petit baiser entre les yeux et passa toute nue devant le rideau de Yapo( qui avait été ouvert légèrement entre temps) pour entrer dans la douche et faire sa toilette. Yapo fulminait mais luttait pour ne rien laisser paraitre. La soirée fut faite de causerie et de rire, jaune pour certains et tout blanc pour d’autres. Nous avons bu le champagne de la tantie en nous racontant les uns aux autres comment nous nous étions rencontrés chacun de son côté. Mariam s’était blottie tout contre moi et n’arrêtait pas de me donner des baisers appuyés sur les lèvres en tournant un regard malicieux vers Yapo qui semblait perdu dans ce qu’il disait. Sa tantie jouait carrément avec son sexe sous nos yeux. Mariam entreprit d’en faire de même. Elle abaissa sa tête jusqu’au niveau de mon bas ventre et se mit à me mordiller le sexe tout doucement. La tantie nous proposa de sortir tous les quatre en boite. Elle nous embarqua dans sa belle voiture, elle et yapo devant, moi et ma Mariam à l’arrière. Mariam continua ses câlins tout le long du trajet. Yapo avait un œil constamment rivé au rétroviseur pour voir se qui se passait à l’arrière. De là jusqu’à notre retour, il était tombé malade et vomissait avec de grands bruits à vous couper le souffle. La tantie nous déposa, Mariam et moi, en chambre et accompagna Yapo à l’hôpital. J’ai donc terminé la nuit avec la douce Mariam à mes côtés. Je m’arrête là, car la suite de mon histoire risquerait de vous ennuyer. Il faut reconnaitre que « tel est prit qui croyait prendre ». Sincèrement, j’en suis encore à me demander pourquoi Yapo a décidé ce jour là de sacrifier son amour sur l’hôtel de l’argent ? Pourquoi n’avait-il pas présenté Mariam comme ma sœur ou comme la sienne ? Et puis moi-même pourquoi m’étais-je laissé entrainer dans ce grotesque montage ? Mariam, Ha la belle Mariam, qu’est-ce qui lui avait pris la tête tout à coup ? Ha Yapo, mon vaniteux voisin, je te demanderai pardon toute ma vie, mais que pouvais-je ? Dites moi chers lecteurs et lectrices, qu’auriez-vous fait dans ce cas (à la place de Yapo, de Mariam ou à ma place) ?

Source: Clicanoo (Ile de la Réunion)

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