L’épouse infidèle qui couchait avec le gardien de son mari pendant que celui-ci partait en voyage a fait elle aussi les frais de son infidélité démesurée. Donnant ainsi la chance à son époux exemplaire de castrer son boy pris en flagrant ébats sexuels sur son lit avec son épouse légale. Les faits qui paraissent invraisemblables se sont déroulés dans un village de la zone Office du Niger. Les funérailles de l’inconnu (puisque personne ne savait d’où il venait ni qui sont ses parents) ont été faites entre joie et indignation. Puisqu’il y a toujours des gens de bonne foi qui ne veulent jamais voir leurs prochains souffrir, ce riche contrebandier du village rencontre un jeune homme dans l’une des rues de la place publique. Décidément, l’inconnu venait d’ailleurs. Le contrebandier eut pitié de lui. Il l’hébergea un moment puis l’engagea comme domestique peu après. La relation entre le patron et son domestique se transforma au fil des ans en une parenté « sociale » au point que le domestique gérait sa famille en son absence.
photo d'illustration / Les femmes se mettent en danger rien que pour avoir des fesses charnues
photo d’illustration / Les femmes se mettent en danger rien que pour avoir des fesses charnues
De bouche à oreille la rumeur tombe dans les oreilles du patron : le domestique vit avec son épouse et prenait sa place sur le lit après qu’il eut voyagé. Nonobstant, il garda son sang froid et programme un faux voyage. Il revient au milieu de la nuit, aux environs de 3 heures du matin. Surprise : les deux amoureux dormaient profondément après s’être rafraîchi les nerfs. Le contrebandier appela son ami en plus de deux autres témoins oculaires. Ils ouvrirent la fenêtre, s’introduisirent dans la chambre à coucher sans que son épouse et son domestique s’en rendent compte. Les jambes de l’épouse infidèle écartées, le domestique tout nu, ses vêtements étant dans l’armoire du patron. Il n’y avait pas mille choses à faire : castrer le domestique. Ils y sont parvenus après l’avoir attaché sans qu’il ne se défende.
A hôpital-dis au centre de santé de la localité, l’inconnu qui n’avait pas signifié le moindre regret y trouva la mort. Le contrebandier divorça d’avec sa femme. L’épouse infidèle erre toujours dans la nature sans pouvoir se remarier.
Samakoro KONE
Source : Le Progrès
Lire la suite...
24/03/2015
23/04/2014
Inde: L’homme le plus âgé du monde a 179 ans
Mes petits enfants sont morts il y a des années. En quelque sorte mort j’ai oublié. « El Indio cordonnier Mahashta Mûrasi dit qu’il est né en Janvier 1835, il est non seulement l’homme le plus vieux du monde, mais l’homme qui a vécu plus d’années à travers l’histoire humaine , selon le Guinness World Records.
Les responsables indiens disent l’homme est né dans une maison à Bangalore le 6 Janvier 1835. De 1903, il a vécu à Varanasi, où il a travaillé jusqu’en 1957, jusqu’à sa retraite dans 122 ans.
«Je vis aussi longtemps que les enfants de mes petits-enfants sont morts il ya quelques années », a déclaré Mûrasi.
« D’une certaine façon, la mort oublier. Et maintenant, nous n’avons aucun espoir.
En regardant les statistiques, on ne meurt pas avec plus de 150 ans, et encore moins sur 170. A ce stade, je pense que je suis immortel ou quelque chose « , a t-il dit.
Selon WorldNewsDailyReport.com tous les documents permettant d’identifier l’homme soutiennent sa version, mais à ce jour, aucun examen médical a confirmé la véracité de ses allégations.
Le professionnel ultime qui a visité Mûrasi mort en 1971, il y a donc peu d’informations sur vos antécédents médicaux.
Source: Clicanoo (Ile de la Réunion)
Lire la suite...
Source: Clicanoo (Ile de la Réunion)
Lire la suite...
Libellés :
Insolite
Guinée: Une vieille de 66 ans égorgée par de présumés bandits à N’zérékoré
L’acte s’est produit dans la nuit du Samedi 19 au Dimanche 20 Avril 2014 à 4heures du matin dans le quartier Nyen près d’un lycée de la place.Selon une source proche de la victime, la femme a été égorgée alors qu’elle se rendait à la prière : « La Vieille Manou Condé partait à la mosquée pour la prière vers les 4 heures du matin. Comme la Vieille avait l’habitude de sortir chaque jour en ce moment précis lorsque le muézin appelle à la prière, Manou Condé avait pris son boc «communément appelé bouilloire ndlr », sa torche et son foulard enrouler sur sa tête pour faire les ablutions tout près de sa concession. Corps de la vieille égorgéCorps de la vieille égorgéCe qui est étonnant dans la tuerie de la Vieille, est que les bandits l’ont éliminé sans qu’elle ne crie, ni un bruit pouvant attirer l’attention des habitants de la contrée et ce n’est qu’au matin dans les environs de 6 heures que notre voisine a aperçu un sang abondant qui trainait vers le puits perdu, par curiosité elle a regardé dans le puits perdu où se trouvait le corps de la Vieille "Manou Condé" égorgée par des assaillants » déclare notre source. Ce crime crapuleux relance du coup, la psychose dans la ville de N’Zérékoré théâtre l’an dernier, d’affrontement inter communautaires. Pour le moment, les auteurs présumés de ce crime restent introuvables. A rappeler que la victime Manou Condé née en 1948 à Kankan est mère de quatre (4) enfants.(Guineeplus.net)
Source: Clicanoo (Ile de la Réunion)
Lire la suite...
Source: Clicanoo (Ile de la Réunion)
Lire la suite...
09/04/2014
"Il m’a offert sa copine préférée sans le vouloir"
L’histoire que je m’en vais vous raconter est une histoire cocasse qui s’est déroulé quand j’étais encore étudiant et que je vivais en cité au campus de Cocody. Aujourd’hui encore, j’en ris aux larmes quand j’y pense.Ceux qui ont vécu en cité, connaissent bien les cas des chambres doubles. La chambre double, comme son nom l’indique, est une chambre qui comporte deux lits séparés par un semblant de placard souvent en état de délabrement très avancé. Cette année là, je partageais ma chambre avec un étudiant en année de Licence de droit. Moi je préparais ma soutenance pour une maîtrise en histoire. J’étais un étudiant sans histoire qui aimait le calme et la tranquillité. A l’opposé, mon voisin était un garçon imbu de sa personne. Il entassait à son palmarès, conquête sur conquête. C’était un homme à femmes et il s’en vantait tous les jours.
Notre chambre était située dans le bâtiment en face de la place Apkélé Apkélé. J. Yapo, comme je le disais, changeait de copines comme il le ferait des dizaines de chemises qui s’entassaient dans son placard. Il était un garçon élégant à sa façon. Il s’habillait bien et dans des tenues très à la vogue qui coutaient une fortune pour la bourse d’un petit étudiant qu’il était. Un jour, il me confia qu’il sortait avec une tantie et c’est elle qui lui refilait tout l’argent qu’il exhibait à mes yeux. Yapo était certes un coureur de jupon, mais il adorait réellement Mariam K. parmi ses conquêtes. Elle était, comme on aimait à le dire, « sa titulaire », c’est-à-dire celle qu’il préférait au dessus de toute. D’ailleurs, il avait raison, Mariam était une fille sublime. Elancée avait une poitrine et un postérieur de rêve, cette fille avait un cou strié et des dents d’une blancheur extrême. Au fond de mon cœur, elle me plaisait bien.
Yapo prenait soin d’elle. C’est lui qui s’occupait de ses études. Il était connu par la famille de cette dernière à qui il cachait son infidélité chronique. En effet, Mariam ne savait rien des escapades de son chéri. Mais ce dernier avait eu l’honnêteté de lui avouer ses relations avec « sa tantie » de laquelle, il obtenait tout l’argent qui assurait les études de Mariam. Elle n’aimait pas cette situation inconfortable, mais elle avait accepté de s’y faire.
La tantie en question était une jeune cadre de banque qui était follement amoureuse de Yapo. Elle passait souvent la nuit avec Yapo dans sa chambre d’étudiant sans gêne. Le jour où c’était le cas, Mariam était prévenue d’avance de ne pas arriver en cité. Cette dame garait sa BMW grise devant notre bâtiment et dormait avec nous dans notre chambre. Le lendemain matin, elle nous comblait de cadeaux moi y compris. Tout se passait pour le mieux jusqu’au jour où…
Installez vous bien et suivez l’histoire. Ceci est la partie qui me faire rire jusqu’à l’instant même où j’écris cette confession. Ce jour là, Mariam était avec Yapo en chambre lorsque la tantie a débarqué sans prévenir. J’avais oublié de souligner qu’elle était d’une jalousie maladive. Car cela est important pour la bonne compréhension de ce qui va se passer par la suite. Elle débarqua donc avec une grosse bouteille d’un champagne dont j’ignore le nom. Mariam faisait la cuisine et mon voisin écoutait la musique. Quand elle a franchit la porte de la chambre, j’ai vu comme un éclair de feu dans les yeux de Yapo qui s’était redressé promptement pris de panique.
- Bonjour chéri.
- Bonjour mon cœur, a répondu Yapo sans vraiment convaincre.
A l’instant, Mariam a tout compris, c’était la première fois qu’elle voyait la tantie. Elle-même semblait prise de panique. La tantie fixa longuement Mariam et demanda : « qui est cette belle jeune fille ? » Yapo s’empressa de répondre sans réfléchir : « c’est Mariam, la copine de Kelvin »
La dame me regarda :
-Mais Kelvin tu es un méchant garçon. Tu as une si belle chérie et tu ne me l’as jamais présentée ?
Imaginez ma surprise et mon étonnement. Je n’en revenais pas ! La capacité d’improvisation de Yapo était vraiment…gigantesque ! Il me fit signe des yeux. Il me fallait jouer le jeu.
-Oui, c’est ma princesse des savanes du nord.
-elle est vraiment une vraie princesse, ajouta t’elle.
Elle enlaça très rapidement Yapo et se mit à lui faire des câlins comme si nous n’existions pas. Yapo semblait dans de sales et beaux draps en même temps (rire). Elle tira le rideau et nous entendîmes par la suite de petits cris étouffés. Mariam tremblait de tout son corps. Je me suis saisi de sa main et je l’ai attirée vers moi. Elle s’est pratiquement effondrée dans mes bras et s’est mise à pleurer doucement. Je l’ai attirée sur mon lit et j’ai mis la musique à fond. Elle tremblait fortement dans mes bras en me tapant sur la poitrine avec ses poings d’ange. J’ai commencé à lui parler doucement dans l’oreille pour la calmer. Ses sanglots me fendaient le cœur. Comme un éclair, elle m’a saisi par le cou et m’a fait coucher sur le lit. Je l’ai vue par la suite dégrafer son corsage et libérer ses énormes seins d’une rondeur étonnante. Je n’en revenais pas. Elle continua et laissa bientôt tomber au pied du lit son string d’une blancheur immaculée.
Elle était nue ! Elle tendit la main vers ma mini-chaîne et en diminua le volume. La tantie gémissait comme dans un film pornographique de l’autre coté du malheureux placard, témoin de toute cette scène incroyable. Mariam tira sur mon caleçon américain et dévoila mon membre qui était tout raide. Elle le porta à sa bouche et se mit à le suçoter doucement en gémissant à son tour. J’étais vraiment dans une situation de rêve éveillé. Elle porta ensuite mon membre et l’entrée de sa fente et l’y introduisit sans grand effort. Elle s’appliqua par la suite à donner de grands coups de reins. Je voyais ses gros seins balançant au dessus de ma figure. Je les attrapai dans mes mains et commençai à les malaxer. Elle gémissait de plus en plus fort donnant presque la réplique à l’autre gémissement qui faiblissait. Mariam me faisait l’amour avec un entrain étonnant. Elle se dégagea et me tendit ses fesses en m’invitant à la prendre par derrière. Cela alluma un feu violent en moi à la simple vue de ce postérieur magnifique.
Yapo poussa un petit rire sarcastique de l’autre côté et me demanda :
-Kelvin que se passe t-il ?
Je n’eu pas le temps d’ouvrir la bouche que Mariam enchaina : « vous nous avez donné l’envie, donc moi et mon chéri on s’éclate comme vous, on fait l’amour. Vas-y chéri enfonce-toi plus profondément, ho je t’aime mon Kelvine Chéri.» j’imaginais la réaction de Yapo de l’autre côté. D’ailleurs, moi, je donnais de vigoureux coups de reins qui claquaient avec le petit suintement humide caractéristique. J’explosai en elle en râlant de mon mieux. Elle me plaça un petit baiser entre les yeux et passa toute nue devant le rideau de Yapo( qui avait été ouvert légèrement entre temps) pour entrer dans la douche et faire sa toilette. Yapo fulminait mais luttait pour ne rien laisser paraitre.
La soirée fut faite de causerie et de rire, jaune pour certains et tout blanc pour d’autres. Nous avons bu le champagne de la tantie en nous racontant les uns aux autres comment nous nous étions rencontrés chacun de son côté. Mariam s’était blottie tout contre moi et n’arrêtait pas de me donner des baisers appuyés sur les lèvres en tournant un regard malicieux vers Yapo qui semblait perdu dans ce qu’il disait. Sa tantie jouait carrément avec son sexe sous nos yeux. Mariam entreprit d’en faire de même. Elle abaissa sa tête jusqu’au niveau de mon bas ventre et se mit à me mordiller le sexe tout doucement. La tantie nous proposa de sortir tous les quatre en boite. Elle nous embarqua dans sa belle voiture, elle et yapo devant, moi et ma Mariam à l’arrière. Mariam continua ses câlins tout le long du trajet. Yapo avait un œil constamment rivé au rétroviseur pour voir se qui se passait à l’arrière. De là jusqu’à notre retour, il était tombé malade et vomissait avec de grands bruits à vous couper le souffle.
La tantie nous déposa, Mariam et moi, en chambre et accompagna Yapo à l’hôpital. J’ai donc terminé la nuit avec la douce Mariam à mes côtés. Je m’arrête là, car la suite de mon histoire risquerait de vous ennuyer. Il faut reconnaitre que « tel est prit qui croyait prendre ».
Sincèrement, j’en suis encore à me demander pourquoi Yapo a décidé ce jour là de sacrifier son amour sur l’hôtel de l’argent ? Pourquoi n’avait-il pas présenté Mariam comme ma sœur ou comme la sienne ? Et puis moi-même pourquoi m’étais-je laissé entrainer dans ce grotesque montage ? Mariam, Ha la belle Mariam, qu’est-ce qui lui avait pris la tête tout à coup ? Ha Yapo, mon vaniteux voisin, je te demanderai pardon toute ma vie, mais que pouvais-je ? Dites moi chers lecteurs et lectrices, qu’auriez-vous fait dans ce cas (à la place de Yapo, de Mariam ou à ma place) ?
Source: Clicanoo (Ile de la Réunion)
Lire la suite...
Source: Clicanoo (Ile de la Réunion)
Lire la suite...
09/11/2008
LA REUNION: Dérangé pendant qu’il urinait, il se venge
Il ne fait pas bon déranger les gens qui satisfont leurs besoins naturels dans les rues du Port. Vendredi dernier, en soirée, dans le centre-ville, un homme de 42 ans se soulage contre un mur. Un scooter passe, monté par un homme et une femme. Elle, âgée de 27 ans, a déjà eu un différend avec le quadragénaire. Des noms d’oiseaux volent, et l’homme au pantalon sur les genoux finit par se retourner et montrer ses attributs avec arrogance. Les deux scootéristes s’en vont. Fin de l’histoire ? Non : le quadragénaire file vers sa voiture, et démarre au quart de tour, à la recherche du couple sur lequel il fonce. Résultat : les deux victimes sont projetées au sol et blessées. L’homme, âgé de 30 ans, a une ITT de 4 jours, et la femme de 27 ans est plus sérieusement touchée, avec un mois d’incapacité temporaire. Placé en garde à vue, le conducteur vengeur, qui s’est cru dans un film de Quentin Tarantino, sera convoqué le 30 avril 2009 devant le tribunal correctionnel, pour violences avec armes. Il avait une alcoolémie de 1,72 mg/l d’air expiré au moment des faits.
Source: Clicanoo (Ile de la Réunion)
Lire la suite...
Source: Clicanoo (Ile de la Réunion)
Lire la suite...
Libellés :
Insolite
CAMROUN : Comment les coupeurs de route ont abattu le Cdt de Kaélé
Il tentait de libérer six otages (le communiqué du Sed parle de huit otages) des mains de leurs ravisseurs en compagnie de six éléments de son unité dans la matinée du 28 octobre 2008. Le capitaine Leinyui Tah Felix, jusqu’ici commandant de compagnie de gendarmerie de Kaélé a trouvé la mort au front dans la matinée du 28 octobre 2008, lors d’une descente dans le repaire de coupeurs de route dans la localité de Mizao aux fins de tenter de libérer des otages. Un coin réputé pour avoir abrité plusieurs gangs de malfaiteurs et qui fait encore le cauchemar de ses habitants. Selon des informations concordantes, six ravisseurs armés jusqu’aux dents ont fait irruption dans la localité de Mizao dans la nuit du 24 au 25 octobre 2008, avec à la clé, la prise en otages de six personnes, tous éleveurs appartenant à deux bergeries de la localité. Entre temps, deux individus sont libérés pour aller recouvrer la rançon qui s’élevait à 8 millions Fcfa.
Les ravisseurs ayant exigé que le versement ait lieu le mercredi 28 octobre 2008 à 16 heures précises près de leur tanière. Les otages libérés vont plutôt informer les éléments de forces de maintien de l’ordre sur la situation et la conduite à tenir. Le commandant de compagnie de gendarmerie de Kaélé est ainsi alerté et prépare ses troupes pour ratisser les lieux indiqués. Lui et ses six éléments décident de passer à l’offensive avant l’heure du rendez-vous. A neuf heures de la matinée, à la tête de six gendarmes, ils foncent vers les lieux indiqués par les otages libérés.
Mais c’est sans savoir que les malfrats ont pris des précautions extrêmes pour ne pas être surpris. Les ravisseurs vont intelligemment se poster à une centaine de mètres avant le lieu indiqué, question de se mettre à l’abri de toute surprise désagréable. Mais dans leur progression vers le lieu de la remise du pactole, le capitaine Leinyui Tah Felix est accueilli par une rafale. Ses éléments sous le coup de la frayeur prennent la poudre d’escampette tandis que les ravisseurs s’enfuient également. C’est donc dans cette circonstance malheureuse que celui qui tenait encore les rênes de cette "île aux coupeurs de routes" depuis quatre ans trouve la mort.
Son corps a été aussitôt acheminé directement à l’hôpital provincial de Maroua dans l’après-midi. Ce malheureux événement vient ainsi compromettre tous les efforts entrepris par cet officier de la gendarmerie pour "curer" la localité de Mizao et partant le redoutable département du Mayo Kani sous la coupe des coupeurs de routes et de ravisseurs. L’on se souvient qu’en début du mois d’octobre, le commandant de compagnie de Kaélé a fait l’exploit de retrouver au fond de la tanière des coupeurs de route un véritable arsenal de guerre composé de neuf fusils Kalachnikov et des munitions. Est-ce pour cette découverte que les coupeurs de route l’attendaient au tournant ? Difficile à dire dans un contexte où règne un climat de suspicion au sein même des populations de Mizao.
Certaines informations laissent entendre que parmi ces populations se retrouvent beaucoup d’indics de ces malfrats. Le commandant de légion de gendarmerie de l’Extrême-Nord, le colonel Pierre Louba Zall est immédiatement descendu à Kaélé pour faire le constat et procéder à une éventuelle opération de ratissage. Débutée hier mercredi 29 novembre 2008, l’opération qui bénéficie de l’appui du Bataillon d’intervention rapide, passe la localité au peigne fin pour retrouver d’éventuels indices. Le sort des quatre autres otages reste également préoccupant.
Source : Le Messager (Cameroun)
Lire la suite...
Les ravisseurs ayant exigé que le versement ait lieu le mercredi 28 octobre 2008 à 16 heures précises près de leur tanière. Les otages libérés vont plutôt informer les éléments de forces de maintien de l’ordre sur la situation et la conduite à tenir. Le commandant de compagnie de gendarmerie de Kaélé est ainsi alerté et prépare ses troupes pour ratisser les lieux indiqués. Lui et ses six éléments décident de passer à l’offensive avant l’heure du rendez-vous. A neuf heures de la matinée, à la tête de six gendarmes, ils foncent vers les lieux indiqués par les otages libérés.
Mais c’est sans savoir que les malfrats ont pris des précautions extrêmes pour ne pas être surpris. Les ravisseurs vont intelligemment se poster à une centaine de mètres avant le lieu indiqué, question de se mettre à l’abri de toute surprise désagréable. Mais dans leur progression vers le lieu de la remise du pactole, le capitaine Leinyui Tah Felix est accueilli par une rafale. Ses éléments sous le coup de la frayeur prennent la poudre d’escampette tandis que les ravisseurs s’enfuient également. C’est donc dans cette circonstance malheureuse que celui qui tenait encore les rênes de cette "île aux coupeurs de routes" depuis quatre ans trouve la mort.
Son corps a été aussitôt acheminé directement à l’hôpital provincial de Maroua dans l’après-midi. Ce malheureux événement vient ainsi compromettre tous les efforts entrepris par cet officier de la gendarmerie pour "curer" la localité de Mizao et partant le redoutable département du Mayo Kani sous la coupe des coupeurs de routes et de ravisseurs. L’on se souvient qu’en début du mois d’octobre, le commandant de compagnie de Kaélé a fait l’exploit de retrouver au fond de la tanière des coupeurs de route un véritable arsenal de guerre composé de neuf fusils Kalachnikov et des munitions. Est-ce pour cette découverte que les coupeurs de route l’attendaient au tournant ? Difficile à dire dans un contexte où règne un climat de suspicion au sein même des populations de Mizao.
Certaines informations laissent entendre que parmi ces populations se retrouvent beaucoup d’indics de ces malfrats. Le commandant de légion de gendarmerie de l’Extrême-Nord, le colonel Pierre Louba Zall est immédiatement descendu à Kaélé pour faire le constat et procéder à une éventuelle opération de ratissage. Débutée hier mercredi 29 novembre 2008, l’opération qui bénéficie de l’appui du Bataillon d’intervention rapide, passe la localité au peigne fin pour retrouver d’éventuels indices. Le sort des quatre autres otages reste également préoccupant.
Source : Le Messager (Cameroun)
Lire la suite...
Libellés :
Meurtre
MAROC: De l’amour au suicide
Nadia est décédée depuis quelques semaines. Mais ses voisins de l’un des quartiers de la ville de Larache n’ont pas encore oublié son histoire qui a commencé par l’amour et s’est terminée par le suicide. Nadia était une fille très charmante. Agée de dix-sept ans, elle avait quitté les bancs du collège sans penser apprendre un métier. Nadia avait choisi de rester chez elle. Il semblait qu’elle était bien dans sa peau, puisque ses parents prenaient soin d’elle et lui accordaient une liberté absolue. Elle sortait et rentrait chez elle quand elle voulait, elle rencontrait les personnes qu’elle voulait et allait bon lui semble. Personne ne lui demandait d’explication.
Cette liberté absolue, non contrôlée, n’était-elle pas à l’origine de sa tragédie ? Peut-être. À l’instar de toutes les filles de son âge, le charme de Nadia avait séduit les jeunes célibataires de son quartier. Mais, elle n’aurait pas pensé entretenir une relation avec l’un d’eux. Aurait-elle préféré avoir une relation avec un jeune homme d’un autre quartier ? Elle seule était en mesure de répondre à cette question. Mais, elle n’est plus parmi nous.
Abdellatif est un jeune qui demeure un peu plus loin de chez Nadia. Son aîné de trois ans, il se débrouillait pour gagner sa vie et subvenir aux besoins de sa famille. En fait, il est tombé amoureux de Nadia quand il l’a croisée, la première fois, sur chemin. Il a déployé tous ses efforts pour ne pas rater la première occasion. Du premier regard à un simple sourire, il a suivi ses pas et ne l’a abandonnée qu’après lui avoir accordé un rendez-vous. Par la suite, ils ont commencé à se rencontrer régulièrement.
Au fil du temps, Abdellatif a commencé à désirer son amie. Par pudeur, il a hésité de lui demander de l’accompagner chez lui. Mais il avait trouvé un stratagème. Comment? Il l’avait sollicitée de à l’accompagner à l’anniversaire d’un ami. Malheureusement, ils étaient seuls. Sans résistance, elle lui a cédé. Une seule fois était suffisante pour qu’elle passe de statut de fille à femme et qu’elle tombe enceinte. Et Abdellatif lui a tourné définitivement le dos. Sa mère a reçu la mauvaise nouvelle et a sollicité Abdellatif de sauver l’honneur de sa fille. En vain. La solution ? Nadia a mis fin à sa vie en avalant un raticide.
Par : Abderrafii ALOUMLIKI
Lire la suite...
Cette liberté absolue, non contrôlée, n’était-elle pas à l’origine de sa tragédie ? Peut-être. À l’instar de toutes les filles de son âge, le charme de Nadia avait séduit les jeunes célibataires de son quartier. Mais, elle n’aurait pas pensé entretenir une relation avec l’un d’eux. Aurait-elle préféré avoir une relation avec un jeune homme d’un autre quartier ? Elle seule était en mesure de répondre à cette question. Mais, elle n’est plus parmi nous.
Abdellatif est un jeune qui demeure un peu plus loin de chez Nadia. Son aîné de trois ans, il se débrouillait pour gagner sa vie et subvenir aux besoins de sa famille. En fait, il est tombé amoureux de Nadia quand il l’a croisée, la première fois, sur chemin. Il a déployé tous ses efforts pour ne pas rater la première occasion. Du premier regard à un simple sourire, il a suivi ses pas et ne l’a abandonnée qu’après lui avoir accordé un rendez-vous. Par la suite, ils ont commencé à se rencontrer régulièrement.
Au fil du temps, Abdellatif a commencé à désirer son amie. Par pudeur, il a hésité de lui demander de l’accompagner chez lui. Mais il avait trouvé un stratagème. Comment? Il l’avait sollicitée de à l’accompagner à l’anniversaire d’un ami. Malheureusement, ils étaient seuls. Sans résistance, elle lui a cédé. Une seule fois était suffisante pour qu’elle passe de statut de fille à femme et qu’elle tombe enceinte. Et Abdellatif lui a tourné définitivement le dos. Sa mère a reçu la mauvaise nouvelle et a sollicité Abdellatif de sauver l’honneur de sa fille. En vain. La solution ? Nadia a mis fin à sa vie en avalant un raticide.
Par : Abderrafii ALOUMLIKI
Lire la suite...
MAROC: N’aimant plus sa femme, il étrangle ses deux enfants
Si Mustapha ne supportait plus sa femme qu’il prétendait aimer durant une dizaine d’années, pourquoi a-t-il étranglé ses deux enfants, âgés respectivement de 9 et 7 ans ? Nous sommes à El Jabha. C’est une petite ville méditerranéenne, capitale du district de la Mtéwa, éloignée de Chefchaouen et de Tétouan, respectivement de 133 et 136 km. Cette petite ville de trois mille habitants respire la sérénité et paix. Une paix qui peut cacher la cruauté de la vie. Comment ? Ce qui est arrivé à une famille de cette ville côtière en est la preuve qui dépasse l’imagination. Il y a une dizaine d’années que cette histoire a commencé.
Mustapha et Fatima étaient à la fleur de l’âge quand leurs regards se sont croisés dans une ruelle d’El Jabha. Des regards qui ont cédé la place aux battements des cœurs. Pas moins de quelques mois, ils se sont retrouvés sous le même toit. En fait, Fatima n’avait jamais pu croire qu’elle serait la fille la plus chanceuse de son quartier puisque Mustapha était fou d’elle. Il ne pensait qu’à elle. Après son travail, il rentrait aussitôt chez lui. Bref, il consacrait le plus clair de son temps à son épouse. Et il n’épargnait aucun effort pour la rendre heureuse. Un an plus tard, Mohamed est venu égayer le foyer de Fatima et de Mustapha. Un premier enfant qui les a rendus encore plus heureux. Cet enfant ne faisait que refléter leur amour. Un amour capable d’affronter tous les aléas de la vie. Deux ans plus tard, le frère de Mohamed, Abdellah a vu le jour. Le nombre des éléments de la famille a commencé à grandir. De deux, ils sont devenus quatre, liés par l’amour. Et en clin d’œil, Mustapha et son épouse ont vu leurs deux enfants avec leurs cartables sur le dos. Une image qui les a rendus encore plus heureux. Malheureusement, cette joie n’a pas duré longtemps.
Les comportements de Mustapha ont commencé à changer. Il n’était plus la personne amoureuse, calme et attentionnée qui prenait soin de sa famille. Il criait, blâmait sa femme et ses deux enfants et les frappait pour la moindre chose. Il était devenu insupportable. La dernière fois, il avait eu une crise d’hystérie et avait tenté de violenter sa femme. Cette dernière avait fini par prendre la fuite. Seul, devant ses deux enfants âgés respectivement de neuf et sept ans, il les a étranglés l’un après l’autre comme s’il étranglait des poulets. Il ne les a lâchés qu’une fois que chacun d’eux a rendu l’âme. Et jusqu’à aujourd’hui, ce criminel n’a pas justifié aux enquêteurs le mobile de son double crime.
Par : Abderrafii ALOUMLIKI (Aujourd'hui Maroc)
Lire la suite...
Mustapha et Fatima étaient à la fleur de l’âge quand leurs regards se sont croisés dans une ruelle d’El Jabha. Des regards qui ont cédé la place aux battements des cœurs. Pas moins de quelques mois, ils se sont retrouvés sous le même toit. En fait, Fatima n’avait jamais pu croire qu’elle serait la fille la plus chanceuse de son quartier puisque Mustapha était fou d’elle. Il ne pensait qu’à elle. Après son travail, il rentrait aussitôt chez lui. Bref, il consacrait le plus clair de son temps à son épouse. Et il n’épargnait aucun effort pour la rendre heureuse. Un an plus tard, Mohamed est venu égayer le foyer de Fatima et de Mustapha. Un premier enfant qui les a rendus encore plus heureux. Cet enfant ne faisait que refléter leur amour. Un amour capable d’affronter tous les aléas de la vie. Deux ans plus tard, le frère de Mohamed, Abdellah a vu le jour. Le nombre des éléments de la famille a commencé à grandir. De deux, ils sont devenus quatre, liés par l’amour. Et en clin d’œil, Mustapha et son épouse ont vu leurs deux enfants avec leurs cartables sur le dos. Une image qui les a rendus encore plus heureux. Malheureusement, cette joie n’a pas duré longtemps.
Les comportements de Mustapha ont commencé à changer. Il n’était plus la personne amoureuse, calme et attentionnée qui prenait soin de sa famille. Il criait, blâmait sa femme et ses deux enfants et les frappait pour la moindre chose. Il était devenu insupportable. La dernière fois, il avait eu une crise d’hystérie et avait tenté de violenter sa femme. Cette dernière avait fini par prendre la fuite. Seul, devant ses deux enfants âgés respectivement de neuf et sept ans, il les a étranglés l’un après l’autre comme s’il étranglait des poulets. Il ne les a lâchés qu’une fois que chacun d’eux a rendu l’âme. Et jusqu’à aujourd’hui, ce criminel n’a pas justifié aux enquêteurs le mobile de son double crime.
Par : Abderrafii ALOUMLIKI (Aujourd'hui Maroc)
Lire la suite...
MAROC: Le besoin qui détruit le foyer
Une fois par an, un ressortissant marocain établi en France, rendait visite à son épouse qui séjournait à Casablanca ou lui envoyait l’argent dont elle avait besoin. Il ignorait qu’elle avait d’autres besoins. À quel saint devait-il se vouer? L’information que lui avait communiquée sa mère, par téléphone, l’avait perturbé et l’avait rendu hors de lui. «Ta femme te trompe avec un jeune homme…», lui a-t-elle dit au téléphone.
Est-ce que cela est vrai? Si ce n’était pas sa mère qui lui a révélé ce secret, il pourrait douter. Elle ne pouvait pas lui mentir afin de détruire son foyer. D’abord, c’est elle qui lui a choisi son épouse. Cela remonte à cinq ans. Rongé par la solitude depuis plusieurs années, ce ressortissant marocain a pensé à se marier. En plus, il était déjà temps pour lui de fonder un foyer et d’avoir des enfants puisqu’il avait atteint son trente-quatrième printemps. Pourquoi ne pas choisir une Marocaine qui séjourne également en France pour qu’ils soient proches l’un de l’autre ? Non. Il pensait toujours choisir une femme qui vit au Maroc et qui ne pense jamais l’accompagner à l’autre rive de la Méditerranée.
Il a téléphoné à sa mère pour lui exprimer sa décision de se marier et l’a sollicitée de lui choisir sa future épouse. Nous sommes en été de l’année 2003. Ce MRE est retourné chez lui à Casablanca. Après avoir fait la connaissance de sa future épouse, il a célébré la nuit de noces en famille. «Je ne peux pas t’emmener avec moi en France…», a-t-il affirmé à son épouse qui rêvait de quitter le Maroc. Pourquoi ? Il lui a expliqué que ses conditions de vie en France ne le lui permettraient pas. La solution ? «Tu dois rester avec ma mère…», lui a-t-il répondu.
Pour elle, cette réponse ressemblait à une gifle. Il est retourné en France et est revenu au Maroc l’année suivante. L’été 2005, quand il l’a rejointe, pour la deuxième fois depuis leur mariage, elle lui a exprimé son désir de travailler. Parce qu’elle ne pouvait plus supporter de rester prisonnière entre quatre murs. Il lui a alors permis de travailler. C’est à ce moment qu’elle a entretenu une relation amoureuse avec un jeune homme. Depuis, elle passait même des nuits hors de chez elle. De bouche à oreille, sa belle-mère a été informée que sa belle-fille trompait son mari. Elle l’a avisé au téléphone. Sans informer quiconque, il est arrivé à Casablanca et a épié sa femme. Quand il a remarqué qu’elle s’apprêtait à rentrer au domicile où elle passait de bons moments avec son amant, il a alerté la police.
L’épouse et son amant ont été traduits devant la chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Casablanca. Et malgré les interventions, le mari n’avait pas l’intention de se désister. Parce qu’il croyait qu’elle avait besoin uniquement d’argent et rien d’autre.
Par : Abderrafii ALOUMLIKI (Aujourd'hui Maroc)
Lire la suite...
Est-ce que cela est vrai? Si ce n’était pas sa mère qui lui a révélé ce secret, il pourrait douter. Elle ne pouvait pas lui mentir afin de détruire son foyer. D’abord, c’est elle qui lui a choisi son épouse. Cela remonte à cinq ans. Rongé par la solitude depuis plusieurs années, ce ressortissant marocain a pensé à se marier. En plus, il était déjà temps pour lui de fonder un foyer et d’avoir des enfants puisqu’il avait atteint son trente-quatrième printemps. Pourquoi ne pas choisir une Marocaine qui séjourne également en France pour qu’ils soient proches l’un de l’autre ? Non. Il pensait toujours choisir une femme qui vit au Maroc et qui ne pense jamais l’accompagner à l’autre rive de la Méditerranée.
Il a téléphoné à sa mère pour lui exprimer sa décision de se marier et l’a sollicitée de lui choisir sa future épouse. Nous sommes en été de l’année 2003. Ce MRE est retourné chez lui à Casablanca. Après avoir fait la connaissance de sa future épouse, il a célébré la nuit de noces en famille. «Je ne peux pas t’emmener avec moi en France…», a-t-il affirmé à son épouse qui rêvait de quitter le Maroc. Pourquoi ? Il lui a expliqué que ses conditions de vie en France ne le lui permettraient pas. La solution ? «Tu dois rester avec ma mère…», lui a-t-il répondu.
Pour elle, cette réponse ressemblait à une gifle. Il est retourné en France et est revenu au Maroc l’année suivante. L’été 2005, quand il l’a rejointe, pour la deuxième fois depuis leur mariage, elle lui a exprimé son désir de travailler. Parce qu’elle ne pouvait plus supporter de rester prisonnière entre quatre murs. Il lui a alors permis de travailler. C’est à ce moment qu’elle a entretenu une relation amoureuse avec un jeune homme. Depuis, elle passait même des nuits hors de chez elle. De bouche à oreille, sa belle-mère a été informée que sa belle-fille trompait son mari. Elle l’a avisé au téléphone. Sans informer quiconque, il est arrivé à Casablanca et a épié sa femme. Quand il a remarqué qu’elle s’apprêtait à rentrer au domicile où elle passait de bons moments avec son amant, il a alerté la police.
L’épouse et son amant ont été traduits devant la chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Casablanca. Et malgré les interventions, le mari n’avait pas l’intention de se désister. Parce qu’il croyait qu’elle avait besoin uniquement d’argent et rien d’autre.
Par : Abderrafii ALOUMLIKI (Aujourd'hui Maroc)
Lire la suite...
Libellés :
Ménage
MAROC: Pendant 11 ans, il partageait le lit avec sa sœur
Agée de 24 ans, une jeune fille entretenait depuis 11 ans avec son frère une relation qui dépasse l’imagination. Nous sommes au Douar Sbaï, région de Beni Mghite, commune rurale Beni Yakhlef, à Mohammédia. Mohamed est né dans cette localité, il y a vingt-quatre ans. Ce jeune homme jouissait d’une bonne réputation. Ses voisins au douar attestent qu’il était un enfant calme, tranquille et sans problèmes. Mais, personne ne pouvait imaginer que ce jeune homme, qui ne ratait pas sa prière et qui rencontrait de temps en temps ses voisins à la mosquée du douar, pouvait aller plus loin jusqu’à commettre un péché. Coucher avec sa sœur ? Le premier contact remonte à onze ans alors que Mohamed n’était âgé que de 13 ans. Il ne se rappelle pas comment la scène s’est déroulée pour la première fois. Il ne se souvient que d’une seule chose: sa sœur qui n’avait que six ans lui a cédé sans savoir ce qu’il lui faisait. Certes, il s’est contenté du frottement. Et rien d’autre. Loin des yeux des parents, de la famille, des voisins, la relation entre le frère et sa sœur est devenue routinière. Au fil des mois, ils n’ont jamais pensé rompre cette relation. Neuf ans plus tard, la jeune fille n’était plus vierge et elle est tombée enceinte. Que devaient-ils faire ? La jeune fille a accusé un jeune homme, issu de la ville de Safi, qui venait de s’installer chez un membre de sa famille, d’avoir couché avec elle après avoir entretenu tous les deux une relation amoureuse. Une plainte a été déposée par la famille de la jeune fille. Craignant d’être incarcéré, le jeune homme a décidé de l’épouser. Et l’affaire a été classée sans poursuite. Mais, ce mariage n’est resté que sur papier. Puisque le jeune homme l’a abandonnée après avoir contracté l’acte de mariage. Il n’a même pas assisté à la naissance de la petite fille dont il n’était pas le père. Elle était pleine de joie de retrouver de nouveau son frère qui n’était autre que le père de sa fille. La seule personne avec qui elle adorait partager le même lit et qui la désirait corps et âme. Plus d’une année plus tard, elle est tombée de nouveau enceinte. Avec qui ? C’est la question que lui avaient posée sa mère et sa sœur. Elles savaient que son mari, qui ne l’avait pas encore répudiée, n’avait jamais partagé avec elle le même lit. Accusera-t-elle une fois de plus un autre jeune du douar ? Cette fois-ci , elles ne la croyaient pas. La solution ? Elle a craché le morceau. La gendarmerie royale de Beni Yakhlef a été alertée. Le frère et la sœur ont été arrêtés et traduits devant la Cour d’appel de Casablanca. Le jeune homme, qu’elle avait accusé, a entamé la procédure de divorce après avoir été avisé par les gendarmes.
Par : Abderrafii ALOUMLIKI (Aujourd'hui Maroc)
Lire la suite...
Inscription à :
Articles (Atom)